Evaluer cet article Tristan à Boule-de-Suif: Je ne sais pas ce que j’ai. Je ne suis pourtant pas cocardier mais ça me fait plaisir de voir un officier Prussien. Journal 6 mai 1902. Jules Renard A Lire AussiQuoique fasse Saint-Henri, sur le blé mûr le paysanLes poésies d’Ancré Chénier sont comme des arrière-fleurs du Tout savoir sur le Palais des papes L’amertume de la mort est en raison de la crainte qu’elle Dieu est mort, n’entendonsSoleil au jour deNotre inconscient collectif est la victime désignée de notre J’ai ébauché un salut gêné et l’aiVieilles amours etComme à d’autres, l’heure et l’humeur PARTAGER