Evaluer cet article Nous passâmes dans cet éden deux jours paradisiaques. Si le grain ne meurt écrit en 1926. André Gide A Lire AussiPourquoi les blondes prennent la piluleL’amour véritableCelui qui dit qu’il a faim et ne mange D’adorables senteursLaisse-moi …Homme plaideur,Un fou ne fait jamais queChaque jour je t’aimeA la fin d’une longueVotre misère PARTAGER