Evaluer cet article Maeterlinck. Un grand artiste à qui c’est égal d’ennuyer son lecteur et qui ne s’arrête pas pour si peu. Journal 17 décembre 1902. Jules Renard A Lire AussiOn n’a pas vécu huit ans avec une femmeTout père sur qui son fils lève la main est coupableChaque jour je t’aime davantageje préfère le désespoir àTout nouveau tout beau. MaisIl n’y a qu’un devoir, c’estChapitre IX: L’uom di sassoMon amour, c’est le fil auquel se tientLes enfants sont imprévisibles, ils vieillissent et puis ilsOn arrêterait plutôt le cours des fleuves que PARTAGER