Evaluer cet article L’homme ne trouve point sa fin en lui-même mais se subordonne et sacrifie à je ne sais quoi, qui le domine et vit de lui. Préface à Vol de nuit d’Antoine de Saint-Exupéry. André Gide A Lire AussiPathologie institutionnelle, une religion du LivreJ’ai un sentiment d’éternitéDans le coeur humain, ilVous avez beau cacher laLa mère : – Toto c’est toi qui a mangé tous lesUn gars dit à un autre : – J’ai fait couper laUne jeune fille assez belle et vêtue de façon un peu provocante Ce n’est pas ce qu’on a eu qui compte, L’ivresse de la jeunesse est plus forte que l’ivresse duC’est là une des contradictions de la littérature, qu’il y a PARTAGER