(Publié le 31 janvier 2011) (Mis à jour le: 16 août 2017) Evaluer cet article Le voeu que j’avais fait de lui donner tout l’amour de ma vie ailait mon coeur où foisonnait la joie … Si le grain ne meurt écrit en 1926. André Gide A Lire AussiLa solitude est le nid des pensées.L’honneur est un vieux saint que l’on neDe boue, les morts !S’il existait un Dieu bonDira-t-on que je m’entends ?La dictature c’est “ferme ta gueule”Dans certains magasins, les prix étantLe plaisir de trouver vaut mieux que ce que l’onEtre dans le vent : une ambition deÀ quoi bon faire un film sans enthousiasme PARTAGER