Evaluer cet article Le voeu que j’avais fait de lui donner tout l’amour de ma vie ailait mon coeur où foisonnait la joie … Si le grain ne meurt écrit en 1926. André Gide A Lire AussiEn protestant quand il estRome n’est plus dans Rome,Les lots de consolation neSouvent, paraît-il, ilTrois choses éprouventMarguerite: Le RoiDéfaut reconnu est à moitié pardonné.Le plaisir n’est pas un mal en soi, mais certains S’il neige à la sainte-Sylvie, le paysan rit.Eugène Cloutier, histoire et biographie de Cloutier PARTAGER