Evaluer cet article L’art et la religion en moi dévotieusement s’épousaient, et je goûtais ma plus parfaite extase au plus fondu de leur accord. Si le grain ne meurt écrit en 1926. André Gide A Lire AussiQuand un homme est enveloppé dans ses pensées, cela fait un bienToute allégresse a son défautCesse de croire et instruis-toi.Chapitre XXVTelle est l’influence desPour saint-Géraud, les châtaignes fond le chaud.Les hommes devaient avoir peur deNous avons fait de Dieu uneUne blonde rentre dans une blibliothéque et elleLorsqu’on souffre d’une vraie souffrance, comme on regrette même un faux bonheur PARTAGER