Evaluer cet article J’aime ce paysage où les délavures de la terre coulent à travers l’herbe des tons ocreux. Journal 1889-1939, 30 janvier 1906. André Gide A Lire AussiApparitionUne théorie d’art aideLa forêtUn véritable ami vous poignarde en facePeut-on assurer le bonheur de tous auLes grands pays le sont pourAvec la justice, vousQui ne veut pas se faire voir ne doit pas faire de L’envie est de toutes les passions humaines la plusIl était devenu alcoolique au point de dire à son barman comme à PARTAGER