(Publié le 28 décembre 2010) (Mis à jour le: 15 août 2017) Evaluer cet article J’aime ce paysage où les délavures de la terre coulent à travers l’herbe des tons ocreux. Journal 1889-1939, 30 janvier 1906. André Gide A Lire AussiCette excellente femme …A saint-Modéran, corneilles plein les champs.Le Cleenewerck du XVIIeUn sourire coûte moins cher que l’électricité, mais il donne autant deLa trahison peut être le fait d’une intelligence supérieure, entièrement affranchieQuelle est la différence entre un camion et unePluie fine à laJe n’ai qu’une parole,Le pessimisme ouvre la voieJe me suis marié devant un juge. J’aurais dû demander un PARTAGER