Evaluer cet article Et lorsque le malade aime sa maladie, Qu’il a peine à souffrir que l’on y remédie ! Le Cid. Pierre Corneille A Lire AussiLes caressesQuatre rangées de fleursSoir au villageMon compositeur préféré était RavelNe te fie pas à l’amitiéAvril pluvieux, maisAprès un bon dîner on n’en veutUne fille dit à Toto : – Dis, on se mariera quand on sera grandLe règne de la nuit ne connaît ni temps niQuand une maîtresse de maison ne me met pas PARTAGER