Evaluer cet article Et dans les abattoirs où l’on traîne les boeufs, La mort ne vaut guère mieux qu’aux arènes le soir. Paroles de la chanson Les belles étrangères. Jean Ferrat A Lire AussiDans la colèreL’homme timide n’apprendLa poésie est aux sentiments ce que la philosophieLe jour de la saint-Aubin, coupe la queueQu’est-ce donc que le temps Quel est le rêve pour une araignée Je l’ai promisSi elle gèle, Sainte-QuitèreQuand la raison s’est évanouieAu lieu de s’être faite à PARTAGER