Cultivons nousChaque jour qui passe
Est comme une tasse
De thé qui se vide
Et que la nuit remplit
Jusqu'au petit matin
Les premières gorgées
Bues dès potron-minet
Sont chaudes comme le pain
A sa sortie du four
Le breuvage tiédit
Quand arrive midi
Puis il refroidit
Jusqu'à la goutte ultime
Qu'on déglutit le soir
© Jacques Herman – 2007
Aurora
Les femmes attachent de l’importance à la pudeur physique pour
A la sainte-Foy, prends la nèfle si tu la
Vespérales
A part les singes
La petitesse d’un esprit se mesure à
Le plaisir du texte a été évincé par
Le technique qui consiste à
Je veux mourir pour tes beautés, Maîtresse
L’or est d’un grand secours pour acheter un coeur: