Evaluer cet article Ce coeur impitoyable à ma perte s’obstine, et dit qu’il m’aime encore alors qu’il m’assassine. Horace. Pierre Corneille A Lire AussiPour les riches il y a le balletAnnée de sécheresse – ALune de mercredi, femme barbue, et pré moussu, ne portent pas dePenser sans agir équivaut à chauffer une pièce en laissant les fenêtresAvec une volontéIl n’y a de vraiment bonsSi nous ne voyions autour de nousle fanatique est l’homme frappé par le coupTu connais l’histoire de toto aux toilettes ? MoiUn fermier était au comble du désespoir. Son coq PARTAGER