Evaluer cet article Vieille tes yeux sont comme un reflet d’étoile dans une ornière. Extrait de son Journal 1893- 1898. Jules Renard A Lire AussiA combien d’enfants serait utileL’amitié, c’est ce qui vient au coeurQue ce monde demeure Comme cesse le temps Quand on lave laLe temps est démesuré quand on est petitUn jour, je sors du restaurant et j’aperçois un policier qui rédige une contravention. Je Sachant ce que vous savez, comment se fait-il que vousla gravitationUne femme à l’Elysée, tout le monde enPour éviter qu’on vous vole votreL’héroïsme n’exige aucune maturité d’esprit. PARTAGER