Evaluer cet article Une invincible timidité me retenait, et cette crainte, qui me paralyse souvent encore, d’importuner, de gêner ceux vers qui je me sens le plus naturellement entraîné. Si le grain ne meurt écrit en 1926. André Gide A Lire AussiUn enfant jugeLe bourgeon de mars rempli les chars, celui Trop de libertinage dans la jeunesse dessèche le coeur, et trop de continence engorgeCorrespondance et correspondancesLa révolutionLa bougie ne perdA moins d’être stupide et sourd,Qu’as tu fait de ta vie, pitance de roi ?Si janvier ne fait pas son devoir, février lui Si tu veux être sage, PARTAGER