J’oublie votre naissance
Il ne m’est en cet instant
De plus douce espérance
Il ne m’est en cet instant
De plus douce espérance
Que de vous croire éternelle
Tandis que de vos jambes ruisselle
Une eau calcaire que l’on
Rêve d’adoucir
Du plat des deux mains
© Jacques Herman – 2007