Evaluer cet article Sur des cailloux et des pervenches. Quelle odeur de printemps s’épanche De cette pure voix d’oiseau ! A Lire AussiCe n’est pas que j’aie vraiment peur de mourirLe bac, c’est comme la lessiveIl faut parfois lutterTous les hommes ont mêmesC’est une chance de ne pasLe bonheur, c’est la sommeA la Pentecôte – On voitCe n’est pas ce qui est beauJ’ai dit votre nom à voix bassePour ceux qui aiment Dieu, tout coopère au PARTAGER