Evaluer cet article Un apport constant d’eau douce dilue le sel et, pour ainsi dire, dessale la mer. Les Faux-Monnayeurs écrit en 1925. André Gide A Lire AussiUn loup ne sera jamais domestique.Passage de l’intangible auJ’aime la pluie avant qu’elleEtre ou ne pas être, c’est là laLe mot progrès n’aura aucunOn ne saurait peigner un diable qui n’a pas de La côte de boeuf interdite à laLes jours de Noël humide, donnent greniers et tonneaux vides.Il y a des gens chez lesquelsPour être heureux avec les PARTAGER