(Suarès) ne fait point effort pour se grandir, ni pour enfler sa voix, mais pas non plus pour se réduire et se ramasser; la moindre pensée s’amplifie de tous les échos qu’elle éveille en sa grande âme.
Feuillets d’automne écrit en 1949. André Gide
(Suarès) ne fait point effort pour se grandir, ni pour enfler sa voix, mais pas non plus pour se réduire et se ramasser; la moindre pensée s’amplifie de tous les échos qu’elle éveille en sa grande âme.
Feuillets d’automne écrit en 1949. André Gide