Evaluer cet article Si l’on veut vivre d’une vie humaine extérieure et retentissante il ne faut ouvrir que quelques fenêtres de son cerveau et laisser fermées les autres. Extrait de son Journal 1893 – 1898. Jules Renard A Lire AussiL’homme ”sain” n’est pas tant celui qui a A la saint-Antoine, les jours augmentent de la barbeDe ces premières vérités,L’amour est un «je-ne-sais-quoi»A la sainte-Hélène, la noix est pleine, et leQuand en hiver est été, –J’étais pareil au fils prodigue, quiFou la paix, coupa Dieulefils enQuand elle me mènerait aux honneurs,Il faut rassurer par nos égards ceux à qui l’adversité fait craindre nos PARTAGER