(Publié le 13 janvier 2011) (Mis à jour le: 21 août 2017) Evaluer cet article Qu’en l’attente de ce qu’on aime Une heure est fâcheuse à passer ! La Suivante. Pierre Corneille A Lire AussiLa nécessité ne connaît pasLes bains que prend Saint-Norbert, inondent toute laC’est justement cela que je travailleLe loufiat qui m’a servi etLe chant qui est silencieuxL’Avare ACTE I Scène 5Là où la légèreté nous est donnée, la gravitéToute mère est un fleuve.Je mise désormaisTout être vit dans l’incomplétude PARTAGER