Evaluer cet article Quelle âme fiévreuse habitait ce corps frêle ! L’Enfant chargé de chaînes 1913 Une citation de François Mauriac A Lire AussiSache que Palinure enseigna son vestigeLes plus douces joies de mes sensLontano dagli occhi,I figlioli sò a gioa di aNous naissons et nous mourons:La plupart des pièces que nousNe te fatigue même pas à l’ignorer.Toto rentre du jardin où il était en train de jouerC’est de l’intérieur de soi que vient la défaite.Je travaille, et m’applique à vieillir aux heures de PARTAGER