Evaluer cet article Que l’oreille prenne goût à ces dissonances de même que, dans un autre domaine, l’oeil à des disharmonies picturales plus subtiles, il va sans dire… Journal 1889-1939, 28 février 1928. André Gide A Lire AussiLes oies sauvagesViens, suis-moi, vaUn type intelligent qui boit tropLes intérêtsL’horlogeJ’allume un cigareUn homme s’énerve à la mairie : – Mais enfin, mademoiselle, voilà une demi-heure Pourquoi les éléphants sont -ils gris Pour avoir une bonne aillée, faut que la Entre amants, le tact est de savoir en PARTAGER