Evaluer cet article Pour l'homme qui pense, la mort n'est pas une fin mais un commencement. Extrait de Destins tordus Woody Allen A Lire AussiIl y a un goût dans la pure C’était une fois une madame qui s’en allait au Un fou ce met à rire tout seul dans un asile unFeuilles tombant à la saint-Léger, signe d’une bonneCeux qui ne savent pas dire ouChapitre XXIICelui qui ne sait pas ce queDe ses fenêtres au premierScène possible. L’enfant estJamais d’août la sécheresse, PARTAGER