A l’ombre de la réclusion,
Mes nuits se traînent silencieuse.
Approche l’heure du réveil,
Et avec elle, celle de la raison.
Vision à peine ébauchée,
Brumeuse, et sans pareil.
A l’ombre de la réclusion,
Mes nuits se traînent silencieuse.
Approche l’heure du réveil,
Et avec elle, celle de la raison.
Vision à peine ébauchée,
Brumeuse, et sans pareil.