(Publié le 31 octobre 2010) (Mis à jour le: 14 août 2017) Evaluer cet article Par moments, cela sent furieusement la ménagerie. Adoum, qui s’y connaît, nous montre sur une aire de sable des traces de lion, toutes fraîches. Voyage au Congo écrit en 1926. André Gide A Lire AussiNul ne mérite d’être loué deJ’ai connu vers 1924 unÀ la Saint-Augustin, on sent la fraîcheur du C’est avec les hommes que l’on fait lesL’heure la plus sombre estLes habitudes de jeunesseLes jours se sont enfuis,L’acide carboniquePartie 1 Chapitre XVIII : Quatre mille lieues sous le PacifiqueA la saint-Mathurin, les blés semés et les fruits PARTAGER