Evaluer cet article Par moments, cela sent furieusement la ménagerie. Adoum, qui s’y connaît, nous montre sur une aire de sable des traces de lion, toutes fraîches. Voyage au Congo écrit en 1926. André Gide A Lire AussiQui vend sa paille vend son pain, qui vend sonDésir simpleCe soir, je ne suis pas leC’est la profonde ignorance qui Fréquente les sages: Sot, ils te redresseront; sage, ils Ce que l’on conçoit bienDans un asile, un fou voit son amiQuand on ne peut revenir en arrièreNe mets pas le pied sur laL’Avare ACTE III Scène 9 PARTAGER