Evaluer cet article Ouvre si tu peux sans pleurer ton vieux carnet d'adresses. A Lire AussiLe ProgrèsLes livres gagnent toujours à neLe crayon de Dieu lui-mêmeLes syndicats, c’est faitL’esprit sans bonté n’estLe monde appartient à ceuxEn juillet doit rôtir ce que septembre mûrira.On demande à un enfant s’il fait bien sa prière tous les soirs… – Oies qui caquent et battent des ailes annoncent Écrire : une plume griffant le silex de la PARTAGER