(Publié le 29 août 2011) (Mis à jour le: 18 août 2017) Evaluer cet article Nous marchions à pas légers, muets, pour n’effaroucher aucun dieu, ni le gibier, écureuils, lapins, chevreuils, qui folâtre et s’ébroue. Si le grain ne meurt écrit en 1926. André Gide A Lire AussiQui ne sut jamais se bornerToto demande à son père : – Papa, c’est quoiMaux d’amourEtre aimé sans séduireIl n’est pas nécessaire deA la saint-Firmin si l’hiver n’est pas là, il estSale crevure. Je te tiens pourtant ! Tête de vache, te voilà muselé. – Tu as vu au cirque, le dompteur d’éléphants ? Il y a S’il fait beau à la petite Saint-Jean, année fructueuseNuage rouge le matin, fait courir l’eau par le PARTAGER