Evaluer cet article Ne déguisons plus rien, cher Philiste: il est temps Qu’un aveu mutuel rende nos voeux contents. La Veuve. Pierre Corneille A Lire AussiMon paysRien dans notreCan ch’abbaja,Le chagrin personneLa bougie ne perdComme si l’on offrait des perles à desLe gourmand mange en s’imaginant que la maison A pâques, la pluie partout, abondance des grains L’on peut juger ici de la peine queL’écriture d’un journal est un plaisir solitaire. Un PARTAGER