Cultivons nousMALGRE TOUT
Quand colère
Règne en conte-misère,
La tension se fait palpable.
A nous, fronts barrés, elle mure
Aux lèvres figées les blanches commissures.
Le silence pèse, dure,
Avortant de tout mot affable.
Les yeux se cherchent, incrédules,
Ne comprennent le pourquoi, questionnent le comment.
Soudain à ta bouche un sourire-libellule
Déglace les coeurs, mascaret bienfaisant.
Voici la chaleur qui comme été pullule,
Eveille de proche en proche chaque cellule,
Envahit le corps telle belle marée
Vouant l’humeur sombre à la mort
Dans les mornes eaux du jusant.
La crise a passé.
Malgré tout poèmes Claude Colson Poésies contemporaines
Ne dis pas ce que tu
La façon dont on cherche, c’est la façon - Il est moins doux
En mi-juillet, pluie ou vent font mal au
Si je commande à mon oeil
C’est deux spermatozoïdes qui discutent :
– Dis, c’est encore loin les ovaires 
Ma mère voulait percer à Paris
Aimez qui vous aime
Que fait l’heure
Garde toi du mois de janvier comme un voleur