(Publié le 13 août 2011) (Mis à jour le: 18 août 2017) Evaluer cet article Lumière profuse; splendeur. L’été s’impose et contraint toute âme au bonheur. Journal, 1943. André Gide A Lire AussiCertains lisent parce qu’ils sontIl n’y a pas d’autre bonheur queIl est certain que, de ces deux hommes, l’un possèdeSi le deuxième de février, le soleil apparaît entier, l’ours étonnéQuand mon esprit jadis sujet à ta colèreMarier une fille est aussiFaire la paix avec soi-mêmeLes hommes sont faux, ambitieux, vaniteuxIl n’y a pire chose que d’avoir des alliésChauves-souris en grand nombre annoncent le beau temps dans la PARTAGER