Evaluer cet article Les bourgeons terminaux se développent toujours aux dépens des autres, jusqu’à les atrophier complètement. Journal, 26 mars 1916. André Gide A Lire AussiC’est laid, c’est obscèneRien n’est aussi profondémentLa nature est remplie d’uneLe sexe n’a pas de coeur et il n’en fait qu’à saLa Place de la Madeleine : une place dans l’univers du luxe parisienUn caractère fort qui s’abaisseLe premier mariage est une coupe de miel ; le deuxième est Un ruisseau à nombreuses sources ne tarit jamais.L’avantage du porte-avionsLe temps est le grand art de PARTAGER