(Publié le 22 février 2011) (Mis à jour le: 16 août 2017) Evaluer cet article Les bourgeons terminaux se développent toujours aux dépens des autres, jusqu’à les atrophier complètement. Journal, 26 mars 1916. André Gide A Lire AussiLa possession des richesses a des filets invisibles où le coeur se prendFroid d’octobre tue les chenilles.Mais je ne savais pas que MolièreJe travaille à être heureux:Si bien que nous fassions, nous nePourquoi le chat n’aime pas l’eau ?Le plaisir de trouver vaut mieux que ce que l’on Fuis le sot qui fait mine d’être habileet Pourquoi L’ennui est entré dans le monde PARTAGER