Evaluer cet article Le vent ce taureau épars. Journal. Jules Renard A Lire AussiOù est le risque d’en appeler à la postéritéLe désir est l’appétit deJe meure, s’il n’est vraiDans la flatterie, aucuneAppelé en 1915 avec saLa jeunesse constitue unMars pluvieux, an disetteux.La vérité est le meilleur argument.Qu’est-ce donc qu’une femme ? Un ange avec unUn marteau n’a pas de raison d’être s’il n’existait PARTAGER