Evaluer cet article L’applomb de ce petit me démontait. Les Faux-Monnayeurs écrit en 1925. André Gide A Lire AussiLes dents ont beau rire, le coeur sait la blessureHeureux les pauvres en espritNous n’avons pas de futurC’est en mars que le Printemps chante, et que les rhumatismes commencentHa ! que je porte et de haine et d’envieL’avoine d’avril, C’estL’amour des richesses estLa jeunesse attend toujoursCela me rappelle le mot d’unMieux vaut blâmer ses propres fautes que celles PARTAGER