Evaluer cet article L’aiguille de la couturière picore comme une poule minutieuse. Extrait de son Journal. Jules Renard A Lire AussiDeux blondes papotent à un arrêt de bus.Le Ridicule est un ruisseauLa plupart de ceux qui travaillent dans lesC’est lorsqu’on est enrhumé qu’on voudrait manquer deOn croit qu’il se passe ceci et c’estLe soir en novembreQuand vous changerez 50 000 francs Mefie toi du bedouin s’il se logeait dans un château, et du citadin Hé ! Ne te moque pas de la masturbationLa Poésie doit se faire peuple. PARTAGER