Evaluer cet article La vie n’était pas si gaie ! La religion a fait de la mort quelque chose de terrible et d’absurde. Journal 6 mars 1905. Jules Renard A Lire AussiQuand sont finis le feu d’artifice et la fête,O combien est heureux qui n’est contraint de feindreLa littérature anticipe toujours la vieQuand il dit:Avez-vous remarqué queIl refuse plus de femmes qu’ilUnissons nos penséesUn lion ne s’attrape pas avec une toileNe cesse point d’apprendre, pas même un instant.L’obstination est le parent pauvre de la volonté. PARTAGER