Evaluer cet article La fleur ne vaut pour moi que comme une promesse de fruit. Les Nourritures terrestres écrit en 1897. André Gide A Lire AussiSelon l’oiseau, la queue.C’est deux blondes dans un bar et elles seLa maîtresse de toto demande à tous ses élèves de répondre àL’homme qui veut demeurer fidèleLe MissionnaireUne jeune femme dit à une amie : – Crois -moi, ma chérie, il faut toujours Sois sage, ô ma douleur, etLa jeunesse n’aime pas lesAucun philtre d’amour neLe Bi-Bop et le 3672 Memophone furentdes PARTAGER