Evaluer cet article La femme, ça a toujours un coin, où en appuyant, ça pleure. – Le chant du monde Jean Giono A Lire AussiIl n’est pas de vertus humaines que jeQui punit le vaincu neL’amour du méchantPartie 1 Chapitre II : Le pour et le contreC’est fou comme les adultesC’est ainsi que LamartineDeux puces se retrouvent sur la Côte d’Azur, un brave labrador et elles S’il fait beau à la Saint-Guillaume, auras du bléJean Baudrillard, histoire et biographie de BaudrillardL’homme, en se civilisant, n’a-t-il fait vraiment que compliquer PARTAGER