Evaluer cet article La femme, ça a toujours un coin, où en appuyant, ça pleure. – Le chant du monde Jean Giono A Lire AussiLa noisetteLe secret, c’est:Je ne peux rien pour qui neUn homme dont les biens fontA quatre pas d’ici je te leOn jette à la rue les vieuxLa patience mène à bien;Un peu d’oubli ne fait pas deLes amours des chats commencent par se montrerBeaux jours de janvier trompent l’homme en février. PARTAGER