Evaluer cet article La courbe de tes yeux fait le tour de mon coeur. Extrait de Capitale de la douleur Paul Eluard A Lire AussiLe jardin de mon coeurAu chevalier de PangeY’a un truc qu’on est sûr quand on est ministreD’énormes arums dressent leurs cornetsLa plus fausse apparence aL’utopie est la volonté deIl est heureux comme un enfantAntoine rêve qu’il voit un match de foot à la télé,Ne jamais faire confiance à un mari quand il est loin etSes larges manchettes, roides d’empois, laissaient tomber des mains pâles PARTAGER