Evaluer cet article J’étais extrêmement sensible à l’habit, et souffrais beaucoup d’être toujours hideusement fagoté. Si le grain ne meurt écrit en 1926. André Gide A Lire AussiEtourneau vient dans les prés, quand le champNous savons depuis toujours que le monde estS’il fait beau aux Rogations, le premier jour, il feraCe que nous aimonsChaque fois qu’on produit un effetC’était en juin, dans le jardin Sois sage en paroles, mais bien plus A la Chandeleur, l’hiver meurt ou reprend vigueur. Je souhaite une diversion quiL’action politique, à certaines heures, est comme le scalpel du chirurgien, elle ne PARTAGER