Evaluer cet article J’en laissai deux sans vie et mis l’autre aux abois. Oedipe. Pierre Corneille A Lire AussiÔ doux regards, ô yeux pleins de beautéToutes les morts sont douloureusesFaites que le rêve dévore Ce n’est pas avec l’imageCe coeur impitoyable à maChacun de nous, en sa primeLa vie est un rêveÀ toi ma vie, ma tendresse, àL’aspiration à “sauver leLa morale est un talent de PARTAGER