Evaluer cet article J’en accepte l’augure et j’ose l’espérer. Cinna. Pierre Corneille A Lire AussiJ’étais un faible enfantVos oraisons enfiévréesTouché par l’accidentL’amour que j’éprouvais seJe passe ma vie à préparerComme pour l’esprit rienLes Précieuses ridicules Scène IVLe temps révèle tout: c’est un bavard qui parle sans êtreLes femmes les plus attirantes ne sont pas celles qui nous permettentOn n’est jamais trop âgé pour s’instruire. PARTAGER