Evaluer cet article Je veux bien que, l’existence une fois admise, celle de la terre et de l’homme et de moi paraisse naturelle, mais ce qui confond mon intelligence, c’est la stupeur de m’en apercevoir. Les Nourritures terrestres écrit en 1897. André Gide A Lire AussiJe t’aimeVivre sans amisUn chef-d’oeuvre est uneNi le pharmacien ni leAoût mûrit les fruits, –En septembre, si tu esCanicula, caniculaire –Avec les gens qui par finesseLe sang ne deviendra jamais de l’eau.Méditer sur la bêtise humaine est décidément une occupation fort PARTAGER