Evaluer cet article Je ne déteste pas les gaffes. Elles prouvent la droiture de l’esprit. Elles sont les gages comiques de notre bonne foi. Journal 17 novembre 1900. Jules Renard A Lire Aussipoésie, encore de la poésieNos incertitudesJamais jusqu’iciTu as vingt ans, tu déconnesTout poids souhaite tomberTrois genres de vieArchimède … fit connaître lesCe sont les grands et lesUn once de vanité gâte un quintal deChanteur adulé PARTAGER