Evaluer cet article Je me surmène de paresse. Journal 30 septembre 1897. Jules Renard A Lire AussiEt pourtant, quand vousMessage pour toiLe jourLe rire n’est jamais gratuitTel jour Saint-Brice, tel jour Noël, tel premier Je suisC’est une règle générale, partout où il a des mours douces il y aQuand on a perdu une chose importante, quelle qu’elle soit,Avoir les yeux plus grosToutes les tragédies que l’on PARTAGER