Evaluer cet article Je dois tout à mon père avant qu’à ma maîtresse: Que je meure au combat, ou meure de tristesse, Je rendrai mon sang pur comme je l’ai reçu. Le Cid. Pierre Corneille A Lire AussiParis est une femme. J’aiLes illusions tombent l’une après l’autreÉtoiles filantes en septembre, tonneaux petits en novembre.À la Sainte-Barbe, le soleil peu darde.J’ai tellement peur de la mort queLe bonheur n’est pas un luxe, il est en nousQuand l’hiver vient doucement, il est là à Ce ne sont pas les perles qui font le collier, c’estPourquoi les marins se marient-ils ? C’est pourLa volupté unique et suprême de PARTAGER