Evaluer cet article J’ai souhaité l’empire et j’y suis parvenu. Cinna, ou La clémence d’Auguste. Pierre Corneille A Lire AussiMoi, au tennis, je suis comme laNe fais pas d’une chèvre ton jardinier.Quand on croit être heureux,Depuis longtemps, bienLe patient use toujoursA partir d’un certain âge, les femmes ne trompent plus leur mari selonAu lieu de dire que ta mère estSeule la perfection est grande. J’ai de la défiance pour le grandioseQuand il faut volerPourquoi ne faut-il jamais parler à une blonde ? PARTAGER