Evaluer cet article J’abandonnai mon âme à des ravissements Horace. Pierre Corneille A Lire AussiChaque jour à vivre est uneSi tu pleures de joieChapitre XXIPourtant effacez: partiUn service auquel on répugne n’est plus un Qandu u cane hè vechju,aIl vaut mieux un renard au poulailler qu’unLes RémoisXLIV. ÉlégieL’enfant reconnaît sa mère à PARTAGER