Evaluer cet article Il ne lui restait plus qu’à enrouler à côté de ça quelques mètres de boyaux, sans oublier le culier qui donne de l’espace et du lyrisme. Le Hussard sur le toit (1951). Jean Giono A Lire AussiLa bonne musique ne se trompe pasC’était, dans les vapeurs du nardUn janvier froid et sansLes mots sont femmes ; les actions sontSaison des semailles. Le soirUn peu devant que l’aube amenât la journéeAu commencement, à la fin, mars a duBelle journée aux Rois, l’orge croît sur lesIl n’y pas d’amour, il n’y aUn rédacteur publicitaire PARTAGER