Evaluer cet article Il faut qu’une phrase soit si claire qu’elle fasse plaisir au premier coup et pourtant qu’on la relise à cause du plaisir qu’elle a fait. Journal 16 mai 1903. Jules Renard A Lire AussiLa drogue, c’est une catastrophe. Y’en a plus.À CarolineGrand est le journalisme. Chaque éditeur capable n’est-il pas un gouverneur du monde, étant La terre y est fertile, amples les édificesPluie de Notre-Dame, FaitMarcher d’un grave pas et d’un grave sourcilUn voyage de nuit n’est pas comme celui Plaintive tourterelleIls lui étaientQuand deux bons associés s’unissent, la pâte rencontre le PARTAGER