(Publié le 20 juin 2011) (Mis à jour le: 17 août 2017) Evaluer cet article Il est aussi naturel à celui qui emprunte à autrui sa pensée d’en cacher la source, qu’à celui qui retrouve en autrui sa pensée, de proclamer cette rencontre. Journal 1889-1939, juin 1927. André Gide A Lire AussiL’énergie amoureuse dépensée, c’est la sérénité de l’étatLes orgueils blessés sont plus dangereux que lesL’homme n’est libre que de choisir sa servitude.Pierre de lune.La chanteuse brésilienne Maria BethâniaL’art est un cheminement studieux vers une écoleViens ! – une flûte invisibleUn égoïste est incapable d’aimer un amiTous les basquesChapitre VIII PARTAGER