Evaluer cet article Il est aussi naturel à celui qui emprunte à autrui sa pensée d’en cacher la source, qu’à celui qui retrouve en autrui sa pensée, de proclamer cette rencontre. Journal 1889-1939, juin 1927. André Gide A Lire AussiLe silence est le talentDis-moi qui tu hantes, et je teQue tu sois battu ouComment s’appelle le frèreOn aime une femme Qui veut moucher autrui doit avoir les doigtsQuand il tonne à la saint-Cyprien, il faut encore porter des Dieu peut tout. S’il seSi tu ne trouves pas d’ennemi, songe que ta mèreNe va pas penser que, si une PARTAGER