Il espérait que les plantes, les mousses enlaceraient ses jambes, qu’il ne pourrait se dépêtrer de cette eau bourbeuse et qu’enfin sa bouche, ses yeux seraient comblés de vase, que nul ne le verrait plus, et qu’il ne verrait plus les autres le voir.
Le Désert de l’amour 1924
Une citation de François Mauriac